Association Défense des Intérêts des Propriètaires

 lors du malaise d’une résidente Mme RIBERA seule dans son mobil-home

A qui Jean DOUGE  un peu paniqué

par l’état de Mme RIBERA venait d’indiquer quelques minutes auparavant : 

« qu’il fallait ouvrir la barrière car Mme RIBERA faisait un malaise dans son mobil-home…

que c’était peut être une crise d’angoisse ?   

Devant le sourire du ironique à cette précision

le ton est monté …Jean DOUGE prié de sortir s’est retiré de l’accueil ,a attendu les pompiers  à l’entrée  pour les conduire au mobil-home

le gérant étant resté discuter à l’accueil…

Cette photo prise pendant l’intervention des pompiers et du SAMU

avec un témoin de la prise de vue dont l’identité sera révélée si besoin, montre l’intérêt que  le gérant porte aux accidents graves

qui sont en cours de traitement sur son terrain.

Cette discussion devant l’accueil pendant que pompiers et SAMU sont au chevet de la victime d’un malaise devait être de la plus haute importance ?

Sans parler de l’intervention de sa compagne auprès des pompiers …

qui discutait avec une autre personne au sujet de leur nouveau mobil-home … 

Pas une seule  demande de nouvelles sur l’état de la victime seulement une

vive contestation sur l’intervention de Jean DOUGE à l’accueil avec pour réponse du pompier «Mme je ne suis pas  juge » 

La version de la victime :

Vendredi soir 13/7/ 2018 vers 18h j’ai ressenti soudainement une vive douleur à la poitrine et je me trouvais seule dans mon mobil home au camping « les loges » à Meschers, j’ai appelé ma fille qui habite à côté de Poitiers, elle m’a dit de faire le ‘15’ je lui ai dit je vais attendre, elle m’a répondu Non tu appelles tout de suite et tu expliques ce que tu ressens …. J’ai donc fait le ‘15’ ça a demandé un petit moment car j’ai atterri à Bordeaux, donc j’ai été rebalancé sur la Charente-Maritime, donc Royan. Le docteur m’a dit je vous envoie les secours. Ensuite pour attendre, j’ai appelé Mme PERROGON avec qui j’ai de bonnes relations et que je savais sur le camping. Elle est venue de suite avec Mr DOUGE et ils ont eu très peur, car j’avais très mal. Mr DOUGE m’a demandé si j’avais prévenu l’accueil pour l’ouverture de la barrière car les pompiers et le Samu devaient arrivés j’ai dit non et il y est allé, il a été très mal reçu et on lui a ris au nez quand il a dit que je faisais un malaise dû au harcèlement de Mr ETIEN, malaise qui me paraît évident maintenant, car après examen aux urgences, je n’ai rien au cœur, c’est à suivre…. Le lendemain Mr ETIEN est passé devant nous (ma fille et moi) en baissant la tête…. pas un mot sur ce qui s’était passé la veille. Il m’ignore depuis déjà un certain temps.

Fait à Meschers sur Gironde le 23 juillet 2018

Annie RIBERA 

Pour tous commentaires, E-mail jean.douge@orange.fr  

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